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  • Retour sur l’étude sur le social content

    MrInterview sur en quoi le social content est devenu stratégique par Thierry Semblat de Market Research News à partir d'une étude d'envergure réalisée par QualiQuanti fin 2023 sur la relation des marques avec les médias sociaux et les influenceurs.

    Cette investigation comprend une veille documentaire internationale, des entretiens avec 40 marques et 12 experts, une analyse de 20 podcasts de marques sur les médias sociaux, et une enquête exploratoire auprès de micro-influenceurs et d'utilisateurs.

    Quelles priorités pour les marques désireuses de maximiser leurs chances de réussite sur les réseaux sociaux ? Nous avons identifié 9 grands usages types :
    Rajeunir la cible et conquérir les moins de 30 ans
    Montrer de multiples facettes de la marque et du produit
    Localiser une marque internationale
    Couvrir de façon réaliste la diversité de la cible
    Promouvoir une succursale via des influenceurs locaux
    S'impliquer sur des sujets de société
    Recruter ou valoriser la marque employeur
    Faire de la pédagogie en montrant le produit au quotidien
    Co-créer et vendre des produits avec les influenceurs

    Quelles sont les principales erreurs de perspective à éviter pour les marques ? Il est essentiel de respecter la grammaire de chaque canal et de s'inscrire dans la relation "parasociale" qui lie chaque influenceur à son public.

    Quelle "typologie" d'influenceurs est pertinente du point de vue des marques ? Nous avons mis en évidence 4 grandes catégories : les créateurs de contenus, les experts avec spécialisation, les célébrités, et les consommateurs ordinaires.

    Pour en savoir plus sur cette étude et découvrir des exemples de comptes sociaux et de tendances qui m'ont particulièrement marqué, cliquez sur le lien suivant : https://www.mrnews.fr/2024/05/12/interview-daniel-bo-les-marques-doivent-parfaitement-maitriser-les-codes-des-reseaux-sociaux/

  • Coup de cœur Vivatech 2024 IA & Market research ! ✨❤️ Le projet Astra de Parfums Christian Dior

    Astra❤️✨ Coup de cœur Vivatech 2024 IA & Market research ! ✨❤️ Le projet Astra des Parfums Christian Dior est une solution d'analyse de données qualitatives à grande échelle, qui utilise diverses sources et l'IA générative pour prédire les avis des clients sur des produits non existants. C'est un magnifique exemple de BigQuali.

    Cette plateforme IA au stade du MVP (minimum viable product) se nourrit des verbatims clients recueillis sur une multitude de canaux : reviews Google ⭐, pages produit 🛍️, témoignages Instagram, interactions avec le service client 📞, enquêtes de satisfaction 📋, sessions de live shopping 🎥…

    Astra synthétise cet océan de données et permet de faire des prédictions de tendances, d’identifier des problématiques, et de suivre l’évolution des ressentis client en temps réel. Astra permet une visualisation des données, où les verbatims similaires sont regroupés, ce qui aide à vérifier la pertinence des réponses générées par l'IA.

    Objectifs de cet outil d'insights et de CRM qui exploite la richesse des commentaires… :
    – répondre à des questions sur l'appétence des Japonais à l'égard de telle innovation dans le domaine des rouges à lèvres
    – contacter toutes les personnes qui ont réclamé sur un point particulier via leur ID de manière sécurisée

    Présentation en français, italien ou anglais par Eleonora De Leonardis sur le stand LVMH.

    Aa🔍 Cas d'usage : Anomalies de paiement
    👋 Salut Astra,
    ❓ Pourriez-vous me dire s'il y a eu des alertes pour moi la semaine dernière ?
    🗂️ Ok, merci. Je vois le pic dans les données du service client au Japon au cours des 3 derniers jours.
    📊 Pouvez-vous me dire s'il y a un sujet récurrent ?
    🎯 Veuillez vous concentrer sur les sujets ou les problèmes mentionnés par la plupart des clients.
    📈 Pouvez-vous estimer les conséquences de cette anomalie dans le parcours de paiement ?
    🛠️ Ok, concentrons-nous sur l'entrée des informations de paiement, quelles anomalies ont été signalées ?
    📉 Pouvez-vous estimer les conséquences de cette anomalie dans le parcours de paiement ?
    ⚠️ Ok, cela semble sérieux. Pouvez-vous détailler davantage cette anomalie de paiement ?
    L'outil doit permettre de remonter aux ID afin d'échanger avec les personnes ayant rencontré un problème. Le dispositif permet de passer du macro au micro, de la planète à l'individu.

    💄 Autre cas d'usage : Rouge à lèvres Rouge Dior
    🚀 Je travaille actuellement sur un nouveau rouge à lèvres, que je prévois de lancer d'ici la fin de l'année.
    🎨 Je travaille sur un nouveau design pour Rouge Dior, pour le rendre plus attrayant.
    🗣️ Pouvez-vous me dire ce que nos clients disent de Rouge Dior ?
    🌍 Y a-t-il une différence pour Rouge Dior entre les régions comme les États-Unis, la France et le Japon ?
    🔍 Pouvez-vous me dire, en fonction de ce que pensent nos clients du produit, sur quoi devrions-nous nous concentrer pour les développements futurs de Rouge Dior ?
    🌟 Supposons maintenant que nous fabriquions un nouvel étui à rouge à lèvres, en utilisant des chutes de tissu Dior Couture, pour le rendre premium, durable mais aussi unique.
    💬 Pourriez-vous nous dire comment réagiraient nos clients ?
    ⚠️ Des retours négatifs auxquels se préparer ?
    🌿 Super. Maintenant, faites-moi un résumé de cette conversation en 10 lignes.

    L'outil est en anglais. ChatGPT m'a aidé à convertir les images en texte et l'anglais en français.

  • La méthode de la singularité par Patrick Mathieu

    SingFan des méthodologies de Patrick Mathieu, j'ai rassemblé dans un Linktree une série de liens clés pour comprendre son approche : https://linktr.ee/singularite.patrickmathieu

    Vous y trouverez :

    – le lien vers son entreprise et ses différents contenus

    – un questionnaire créé pour aider les individus à se situer en termes de noyau de singularité :

    Téléchargement Questionnaire-singularite

    – l'interview que j'ai réalisé pour le magazine Epatant : 

    Téléchargement Singularite-Epatant

     

    Mais également une vidéo de présentation qui date de février 2014 et reste très pertinente :

  • Nos sujets de recherche depuis 20 ans

    SujetFlorilège de sujets de recherche et collection d'expériences.

    Voici un aperçu des thèmes que QualiQuanti a traité depuis 20 ans avec souvent des publications : livre, livre blanc, étude en souscription, blog…
    Dans le métier des études, la recherche se capitalise et chaque nouvelle étude apporte sa pierre.
    De ce florilège, ressort l'ambition d'explorer :
    – les différentes manifestations des marques : du publi-rédactionnel au product content, de l'affichage digital au QR code et aux marques dans les mondes virtuels, du brand content à la brand culture en passant par les codes du luxe. En filigrane, une investigation sur les alternatives à la publicité.
    – les lieux (pop-up, hôtels, restaurants, innovations locales, sense of place) avec le goût de découvrir de nouveaux espaces
    – les nouveaux usages et les expériences : TV connectée, vélo électrique, colis
    – les pratiques culturelles : presse masculine, TV réalité, promotion du cinéma, spectacles musicaux
    – l'évolution de l'alimentation : pain, barres-repas, substituts de la viande, vrac, arts de la table
    – les questions de société : gender, care, vieillissement
    – les différents types de contenus et de formats : presse masculine, téléréalité, formats digitaux
    – les méthodologies de recherche : analyse musicale, big quali. Avec un postulat, le métier des études est créatif et notre devoir est d'être inspirant.

  • Reussir l’exploration documentaire

    La recherche documentaire est un pilier des études qualitatives. Voici le chapitre que je consacre à ce sujet dans le livre Big Quali.
    Analyse des différentes expressions de la marque, veille concurrentielle (benchmark), vécu consommateurs en images (UGC, crowdsourcing), reportage photo et vidéo, social listening, ouvrages et études de référence, c'est toute cette matière qui a vocation à alimenter l'analyse et le planning stratégique, à illustrer et documenter le rapport d'étude.
    C'est un domaine où la masse de données disponibles a fortement augmenté en quantité et en qualité ces dix dernières années. Comment l'exploiter sans se noyer ?

    Les études marketing bénéficient d’un accroissement des données issues du web. Les moyens technologiques facilitent la création de base de données sur mesure sur WordPress ou YouTube. Pour comprendre les évolutions, il est utile de constituer une veille des innovations expérientielles, nouveaux produits et services, formats éditoriaux, comportements sociologiques ou micro-cultures.

    Une montagne de données qualitatives

    Le digital et le web facilitent l’accès à des données très riches : articles, newsletters, influenceurs, études, témoignages, infos produits, photos, vidéos, médias sociaux, etc. De nombreux outils facilitent cette veille : Crawler, Pocket, Inoreader, Google alertes, Panda, Feedly, Netvibes… Les anglo-saxons nomment « desk research » ce travail documentaire. Il y a une grande diversité de sources gratuites et payantes : syndicats professionnels, presse spécialisée, bases de données, études sur étagère… À côté de l’institut Xerfi créé en 1993, qui propose 700 études autour de 2000 euros l’unité, Businesscoot a créé une offre de 800 études documentaires au prix unique de 89 euros. Plusieurs acteurs sont spécialisés dans la veille sectorielle à l’instar de Retailshake, Madame Benchmark pour le retail ou Uptowns pour l’ethnographie digitale et les signaux faibles. Avec le développement du e-commerce, des millions de fiches produit sont accessibles sur les sites des fabricants et des distributeurs. À partir de sources digitales, on peut jouer sur les captures d’écran, le recueil de liens et la compilation documentaire.

    Mais la veille ne se limite pas à la collecte via son ordinateur. Il faut aller sur le terrain, observer les lieux de vente et de consommation, acheter, goûter les produits, vivre et collectionner les expériences. L’expert en marketing du commerce Frank Rosenthal a effectué plus de 3000 visites de magasins dans plus de 20 pays. C’est toujours un régal de l’entendre commenter ses photos de visites et je partage son plaisir de photographier ou de filmer la réalité pour rendre compte d’observations. Idem pour Olivier Dauvers qui fait des vidéos à la première personne vivantes et instructives.

    Cette matière documentaire enrichit l’étude à chaque stade :

    -      lors de la préparation : en s’immergeant dans l’univers et identifiant les problématiques ;

    -      lors du terrain : stimuli pour faire réagir les consommateurs ;

    -      dans les rapports d’étude : illustrés avec des images collectées ;

    -      pour des études fondamentales et des cahiers de tendances : en décryptant la veille avec des compétences de planning stratégique, analyse sémiologique et culturelle.

    (suite…)

  • Diffuser des livrables inspirants

    LivrLes livrables sont un point contact clé des instituts d'études. Voici le chapitre 10 du livre Big Quali consacré à cette question. J'y aborde notamment l'utilisation des photos et des vidéos tout au long d'une étude, l'intérêt des techniques journalistiques et de l'Ux éditorial, l'enregistrement vidéo des présentations en mode slideshare, les modalités de transmission des résultats, les workshops. En complément, voici un document sur "à quoi ressemblent nos livrables ?

    Ce chapitre intègre les témoignages de Valérie Satre, Nada Gholam, Kimia Ferdows-Tournois, Céline Grégoire, Cyrille Frank, Martine Ghnassia, Nicolas Riou, Guillaume Weill, Anne-Marie BRAYER THIEBAUT, que je remercie de leur participation. Il est question de datavisualisation avec l'exemple de Le Sphinx dirigé par Boris Moscarola, sponsor de Big Quali.

  • Les marques ont un champ d’action immense autour de la responsabilité societale : interview MR news

     

    MrY a-t-il une fatalité à ce que, sous la pression ambiante, les marques s’enferment dans le green-washing, avec des discours stéréotypés et fortement teintés d’opportunisme aux yeux des consommateurs ? Certainement pas nous dit Daniel Bô (QualiQuanti), qui nous invite à adopter une vision très large du Good, permettant aux marques d’exploiter la valeur ajoutée spécifique à leur secteur d’activité tout en déployant leur propre singularité. 

    MRNews : Les marques sont aujourd’hui invitées et même sommées à œuvrer dans le sens du Good. Doivent-elles s’y plier ? Pourquoi et comment ?

    Daniel Bô (QualiQuanti) : Les marques n’ont pas vraiment le choix, il y a le feu à la planète ! Elles doivent s’impliquer mais de façon concrète.  Sur le plan environnemental, il faut encourager la sobriété. Cela passe par de l’exemplarité et la pédagogie. Les économies d’énergies sont à notre portée (réduction du chauffage la nuit et de la climatisation mais aussi lavage à basse température). Il y a des gens qui mettent la clim pour leurs animaux mais aussi leurs plantes vertes. Les marges de progression sont importantes. Dans l’étude Brandgagement que nous réalisons avec Tilt by Kea, nous avons constaté que l’appétence pour les éco-gestes stagne. Les gens ont l’impression d’agir déjà beaucoup sans avoir la garantie que c’est vraiment utile. Sur le vrac, les motivations s’émoussent. Le temps à consacrer pour acheter en vrac (pesage, transport, étiquetage des bocaux, rangement) freine la généralisation de cette pratique. Sur le tri des ordures ménagères, un reportage de Zone Interdite (M6) a montré des services de voieries, qui mélangeaient les déchets de poubelles jaunes et vertes. Le consommateur peut s’interroger sur l’effort qui lui est demandé. Dans un autre reportage, on voyait que la prise en compte du poids des ordures dans la facture était un indicateur motivant. Il va y avoir un gros chantier avec la mise en œuvre de la loi sur le compost à partir de janvier 2024.

    Les marques n’ont pas vraiment le choix, il y a le feu à la planète ! Elles doivent s’impliquer mais de façon concrète. 

    Et sur le plan sociétal ?

    (suite…)

  • Retour sur l’article du Monde de Luc Bronner

    MondeLes sondages en ligne ont besoin de lumière. Voici mes réponses à l'article du Monde de luc bronner : https://www.lemonde.fr/politique/article/2021/11/04/dans-la-fabrique-opaque-des-sondages_6100879_823448.html
    1/ Oui il y a beaucoup de panels et beaucoup de panélistes très sollicités inscrits sur une multitude de panels
    2/ Oui il y a des répondants qui répondent n'importe quoi ; ils sont faciles à détecter par le temps passé à répondre, la cohérence et grâce aux questions ouvertes car ils ne se donnent jamais le mal de détailler leurs réactions en ouvert.
    3/ Pour lutter contre ce risque de réponses négligées, il faut proposer aux interviewés une expérience d'interrogation intéressante, une ergonomie agréable, des questions ouvertes pour apprécier l'implication et traiter les répondants autrement que comme des machines à répondre, un contrôle de la qualité des réponses qui permette de supprimer les réponses bâclées (chez QualiQuanti, nous nettoyons de 10% à 20% des terrains)
    4/ Il est pertinent de disposer de son propre panel afin de maîtriser le nombre de sollicitations, les muti-inscriptions, les incentives, etc
    5/ Il faut une politique d'incentive qui soit motivante pour les interviewés mais qui ne soit pas trop élevée pour éviter la professionnalisation des répondants (viser autour de 8 euros de l'heure sauf pour le public professionnel)
    6/ Le téléphone et le face à face ne sont le plus souvent pas une bonne alternative aux études online compte tenu des biais et des coûts.
    7/ Pour profiter pleinement des avantages de l'interrogation online auto-administrée, il faut mettre des questions ouvertes dans un format proche de l'entretien semi-directif. C'est l'avantage BIG QUALI, sujet de mon prochain livre, qui traite aussi de l'interrogation en ligne, de ses atouts et de ses risques. Retrouvez dans les commentaires deux extraits du livre.

  • Quelques récompenses de QualiQuanti

     

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    Grand prix du brand content 2016  dans la catégorie Livre de marque pour le livre sur les pop-up stores réalisé pour Klépierre

     

    Trophées d’argent Etudes et Innovations dans la catégorie distribution et dans la catégorie tendances.


     

    HUB-Award-2012

    Hub Award 2013 dans la catégorie Livre le plus influent pour le livre Brand Culture publié chez Dunod


    Capture d’écran 2014-06-07 à 22.03.00

    Grand Prix du Brand Content 2013 dans la catégorie BtoB pour le site Idées Locales avec Pages Jaunes


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    Trophée Marketing Magazine des études 2012 pour le site Womenology.fr avec Aufeminin.com


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    Médaille 2010 de l’Académie des Sciences Commerciales pour le livre Brand Content publié chez Dunod


    logo-semo-trendybuzz.com_

    Trophée Semo des Etudes Marketing, Média et Opinions 2010 pour un test d’usage d’un nouveau bouchon d’huile tournesol pour Lesieur

    2 trophées Semo en 2009 : Trophées d’argent pour une étude de fond sur le Brand Content et pour une étude sur les enfants et les écrans pour l’Observatoire Gulli

    2 trophées Semo en 2008 : Trophée d’or (catégorie marque)  pour une étude sur le luxe et Trophée de bronze pour une étude sur le bien manger pour le CAT (Comité des Arts de la Table)

     
     

    Grand Prix des Etudes Marketing 2008 dans la catégorie Marque pour l’étude sur les nouveaux codes de la communication du luxe